Le contrôle de gestion est étroitement lié à la performance opérationnelle d’une entreprise, car il permet de s’assurer que les résultats réalisés par l’entreprise correspondent bien avec ses stratégies. Ainsi, ces résultats doivent être présentés à la direction sous la forme d’un tableau de bord. Ils permettront de déterminer les solutions visant à corriger l’écart entre les résultats obtenus et les objectifs fixés par l’entreprise.
Le contrôleur de gestion doit donc récolter toutes les données fiables concernant l’entreprise. C’est pour cette raison qu’il faut faire appel à un cabinet de contrôle de gestion. Même si vous pouvez engager un contrôleur de gestion, un cabinet sera le plus à même pour cette mission. Cela vous permet d’économiser en temps et en ressources. En effet, au lieu d’employer une personne à plein temps, il vous suffit de contacter un cabinet de contrôle de gestion qui dispose déjà d’une équipe de professionnels prête à vous accompagner dans cette démarche.
Le contrôle de gestion a pour objectif d’aider l’entreprise à déterminer sa stratégie. D’ailleurs, il participe à la réalisation de cette stratégie et à l’atteinte des objectifs que l’entreprise en question s’est fixée. Il permet aussi de ne pas gaspiller des ressources, car il aide votre entreprise à budgétiser vos objectifs. C’est également un excellent moyen pour mesurer les performances de l’entreprise et pour déterminer les failles dans le but de trouver des pistes et solutions d’amélioration.
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Si l’assurance-vie attire de plus en plus de Français chaque année, cela s’explique surement par le gain de notoriété des contrats liés à la performance boursière. Pour faire simple, de plus en plus d’assurés décident de se tourner vers une assurance-vie en unités de compte investies en actions. Contrairement aux comptes constitués avec des fonds en euros, ceux-ci offrent d’importants avantages en raison du comportement du marché. Les risques se révèlent cependant élevés en raison de cette nature turbulente du marché. En 2014, les versements sur les supports unités de compte s’élevaient à 1,6 milliard contre 9,9 milliards depuis le début de cette année. En tout, ce type de support a ainsi connu une hausse de 46 %.
Malgré ces chiffres éloquents, l’assurance-vie et notamment les comptes en action risquent de faiblir dans les années à suivre. L’Assurance Française de l’Assurance a en effet reçu 60 millions de plaintes de la part d’assurés dénonçant des placements en « trompe l’œil ». Selon ces 60 millions d’assurés, les assureurs prennent des commissions de manière illégale sur les versements. Ils déclarent d’ailleurs que les assureurs manquent de transparence concernant le traitement de versements des différents comptes.
Avec la loi Hamon, les assurés peuvent résilier leur contrat d’assurance auto et d’assurance habitation sans attendre la fin de leur contrat. Tant qu’ils ont passé la première année d’adhésion, ils peuvent changer d’assureur à tout moment.
Les procédures sont simplifiées puisqu’il suffit de faire une simple demande adressée à l’assurance pour résilier son contrat. Si le contrat d’assurance à résilier concerne la responsabilité civile ou la responsabilité locative, les formalités de résiliation doivent être effectuées par le nouvel assureur. Ce dernier va ainsi s’assurer que son nouveau client reste couvert pendant la durée des procédures. Et une fois la résiliation effectuée, l’assuré n’aura pas à payer de frais ou de pénalité. Seule la cotisation d’assurance sera versée pendant la durée des procédures.
Grâce à cette réforme, les assurés peuvent faire jouer la concurrence et trouver la meilleure offre sur le marché. Les assurés pouvant profiter de ce dispositif sont ceux ayant souscrit à une assurance auto, assurance habitation, assurance santé ou à une assurance emprunteur.
Publiée dans le Journal Officiel en mars 2014, la loi Hamon n’est entrée en vigueur que le 1er janvier 2015. Elle s’applique tout de suite aux contrats conclus à partir de janvier 2015. Pour les contrats signés avant cette date, les assurés doivent attendre la reconduction tacite pour pouvoir profiter de leurs nouveaux droits.
Le principal avantage du crowdfunding réside bien entendu dans son accessibilité. Inutile de vous tourner vers une banque pour vous endetter sur 25 ans afin de financer votre projet. Le financement participatif offre la possibilité de récolter des fonds en se basant uniquement sur le potentiel de votre projet. D’ailleurs, si vous profitez d’une certaine notoriété ou que vous avez une fanbase fidèle, le financement participatif peut se révéler particulièrement profitable.
Pour le financeur de projet, le crowdfunding constitue un excellent moyen de participer à l’économie sans investir en bourse. Vous pouvez en effet voir naitre une société, dont vous connaissez chaque détail. Qui plus est, le montant minimal du financement se situe souvent à 1 euro. Pour cette participation symbolique, vous pourrez profiter d’avantages vis-à-vis du projet. S’il s’agit d’un film par exemple, vous pourrez recevoir des tickets VIP ou la possibilité de visiter les studios.
Comme dit précédemment, le financement participatif concerne les entrepreneurs qui souhaitent mener un projet à terme malgré un déficit de fonds de départ. Que vous soyez vidéaste, blogueurs, écrivain, vendeur ou spécialiste de la BD, vous pouvez vous inscrire sur un site de financement participatif. Du côté des contributeurs, toute personne disposant d’un moyen de paiement en ligne peut investir dans un projet.
La première solution pour une entreprise en difficulté à la recherche de financements consiste à faire appel aux avances de trésorerie. Ces dernières offrent la possibilité de soutenir les fonds qui vous restent. Elles peuvent aussi servir à financer les créances professionnelles. Pour en bénéficier, il suffit de s’adresser à l’Oséo.
La deuxième solution concerne l’échelonnement du paiement des charges sociales patronales et fiscales. Pour cela, vous devez vous adresser à la direction générale des finances publiques. Vous serez ensuite redirigé vers un guichet unique qui vous proposera un plan de règlement de créances adapté à votre situation.
Enfin, les deux dernières solutions consistent à contracter un prêt régional et départemental ainsi qu’à faire appel à un médiateur de crédit. À noter que ce dernier est chargé de défendre votre dossier auprès des organismes de crédit bancaire.
Lorsque vos créances dépassent largement votre capacité de remboursement, vous pouvez entamer un plan de sauvegarde. Celui-ci permet de rééchelonner le paiement des dettes tout en protégeant ses avoirs. Un plan de redressement est ensuite mis en place pour respecter les nouveaux délais de paiement et relancer l’activité de votre société. À noter toutefois que si votre entreprise est en cessation de paiements, le tribunal peut la mettre en liquidation judiciaire.
En France, le système de retraite de base fonctionne selon un système de trimestres. Chaque fois que vous versez une mensualité, vous validez un trimestre. Arrivé à l’âge de la retraite, le nombre de trimestres validés déterminera si vous pouvez profiter d’une pension à taux plein ou non. À noter que le taux plein correspond à 50 % de votre salaire initial. Dans le cas où vous ne pouvez pas profiter du taux plein, votre pension sera calculée au prorata du nombre de trimestres validés. En d’autres termes, votre pension pourrait être ridiculement basse.
Aussi, pour éviter un tel problème, il se révèle impératif de commencer à économiser dès l’entrée dans la vie active. Sachez aussi que le système de validation des trimestres contient quelques subtilités. Les périodes de chômage figurent en effet parmi les périodes non-comptabilisé comme les années sabbatiques. Si vous n’économisez pas pendant ces périodes, vous risquez ainsi de ne pas remplir le nombre de trimestres requis pour profiter d’un taux plein.
En économisant dès l’entrée dans la vie active, vous augmentez aussi vos chances de remplir le nombre de trimestres requis avant d’atteindre l’âge de la retraite. Cela vous offre deux possibilités :
• Vous pouvez partir en retraite anticipée tout en profitant d’un taux plein.
• Ou vous pouvez continuer à travailler et à économiser afin de profiter d’une surcote. Pour faire simple, vous profiterez d’un bonus sur le montant de votre pension à taux plein au moment où vous aurez atteint l’âge de la retraite.